mardi 20 août 2013

AUTOBRONZANTS OU BRONZANTS ARTIFICIELS




Introduction

Le marche des autobronzants est actuellement en pleine expansion avec une progression de 35,9 % entre 2005 et 2006 pour plusieurs raisons. La mise en garde des dermatologues vis-a-vis de l'exposition solaire, largement diffusee par les medias a ete entendue, rendant obsolete le bronzage intensif. Parallelement, la technologie des produits autobronzants a considerablement evolue, enfin le concept á bonne mine â pour homme comme pour femme ou adolescent s'est largement repandu.

SOINS ANTIPELLICULAIRES





Introduction


Les pellicules sont de petites squames de taille variable, dues à une desquamation excessive du cuir chevelu. Elles posent un problème esthétique, le plus souvent mineur, qui concerne une personne sur deux à l’âge de 20 ans. Leur pathogénie reste controversée, mais le rôle causal des levures du genre Malassezia (synonyme : Pityrosporum) est désormais admis par la plupart des auteurs, même s’il reste mal compris. Il existe actuellement de nombreux traitements efficaces des pellicules dont aucun n’évite cependant les récidives.

lundi 12 août 2013

COEUR , VAISSEAUX ET COCAINE



■ Introduction

Isolée en 1859, anesthésique local depuis 1884, psychostimulant présent dans le Coca-Cola® jusqu’en 1903, attachée à la figure emblématique de Sigmund Freud, la cocaïne n’est plus guère à nos yeux qu’un toxique. Elle trouve actuellement une expansion sans précédent en France, sur les espaces de consommation urbains et festifs. L’autre fait nouveau, c’est la montée rapide du crack, forme fumée de la cocaïne. Point pratique pour le soignant, la consommation de cocaïne appelle l’adjonction de toxiques dits régulateurs : tabac, opiacés, alcool, cannabis. En effet, l’utilisation de ces derniers a une finalité anxiolytique, visant à antagoniser les désagréables effets de la « descente ». Les effets cardiovasculaires de la cocaïne, quasi ignorés du temps où l’usage était confiné à des cercles fermés, deviennent une réalité clinique tangible : devant une urgence cardiologique, l’item étiologique « cocaïne » doit aujourd’hui être coché.